Chronique campagnarde (2 )
Le pauvre homme avait eu un accident cérébral qui l’avait laissé à l’état de légume. Ce n’était pas la mort qui l’avait effrayé, non, la mort, il la côtoyait tous les jours lorsqu’il tuait son bétail, « - ce n’est qu’un mauvais moment à passer » disait-il...