C’est avec Elsa que Pierre découvrit l’univers féerique et enchanteur des poupées Barbie. Il délaissa peu à peu et sans regret ses petites voitures et ses mécanos. Dès qu’il pouvait échapper à la surveillance de sa mère, il filait chez sa cousine et découvrait...

CHAPITRE 35 Les mois avaient passé. J’avais retrouvé un poste de créative dans une grande agence de publicité, un vrai cette fois. J’étais très bien payée mais malheureusement, je rencontrais dans ce milieu des centaines de Pierrick en puissance, tous...

CHAPITRE 34 Le soir du départ de ma sœur, je m’endormis à même le canapé, ivre de sommeil et abrutie d’émotions et surtout un peu gênée de me retrouver seule avec Stanislas seulement, le lendemain matin après une nuit réparatrice, tandis que je prenais...

Le pauvre homme avait eu un accident cérébral qui l’avait laissé à l’état de légume. Ce n’était pas la mort qui l’avait effrayé, non, la mort, il la côtoyait tous les jours lorsqu’il tuait son bétail, « - ce n’est qu’un mauvais moment à passer » disait-il...

Tout le village était là, réuni autour d’un trou béant pour l’enterrement de Jean-Paul Baud, « du gars Baud » comme on disait au pays. Une chaleur étouffante pesait sur les gens. C’était un enterrement dans la plus pure tradition rurale, lourd de messes...

CHAPITRE 33 Le soir même, nous fîmes nos adieux à Narcissia et Manolo qui repartaient vers de nouvelles aventures. Ils avaient décidé d’aller séjourner quelques jours chez mes parents à Grenoble pour leur annoncer la bonne nouvelle. Je n’eus pas l’occasion...

CHAPITRE 32 - Tu me menaces ? - Non, je te réclame ce que tu me dois et tu as plutôt intérêt à te dépêcher sinon… - Sinon quoi ? Catherine choisit ce moment pour débarquer avec son verre de vin. J’en profitai pour me dégager, furieuse. - Je reprendrais...

CHAPITRE 31 Catherine nous servit l’apéritif. Elle ne cessait de répéter que ce n’était pas le genre de son mari d’être en retard à un rendez-vous et nous entretint aussi de la météo, conversation qui m’avait toujours profondément ennuyée. Enfin, ayant...

Comme un bébé africain Accrochée à ton cou comme à une bouée Ni maître ni esclave ; abandonnée Alors oublier que je sais penser Oublier tout ce que j’avais appris Ne plus parler, ne plus chercher A comprendre tout ce qui se passe ici Me laisser porter...

SI TU VAS A KABOUL, T'ES MABOULE...